Vous n'aurez plus le plaisir de lire les lignes de notre correspondant bouclé à Buenos Aires puisque je viens de le mettre dans l'avion. J'avais pensé à mille stratagèmes pour le retenir (lui voler son passeport, indiquer une mauvaise direction au taxi, écrire un faux mail de Ludo disant qu'il avait trouvé un autre contrebassiste) et finalement je me suis résignée à le laisser partir pour le plaisir de ses amis et de sa famille et pour le bien de la musique française! Il était impossible de me glisser dans sa valise (trop de glaces et d'asado). Prenez bien soin de lui à son arrivée...
Le blog continue; il y a du boulot pour le tango!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
t'en fais pas on est avec toi et on attend impatiemment de nouvelles photos et péripéties.
RépondreSupprimerbises pap et mam
coucou !!
RépondreSupprimernous aussi on attend impatiemment !
alors le tango ? tu progresses ?
bisous
ju et adrien